mardi 23 février 2010

Changement de d'adresse

Coucou tout le monde !!!

Si tant est qu'il reste encore des personnes pour passer par ici...

Non je ne suis pas morte, mais bon les choses de la vie font que l'on a pas toujours le temps d'être là où on le voudrait quand le voudrait, et blablabla...

Bref "Blogueuse Ronde" c'est fini. Enfin... Ici, c'est fini.

Mais pour celles et ceux qui commenceraient à avoir la larmichette qui pointe, je tente une nouvelle aventure, sous un autre axe dans ce coin là :

CLIC CLIC CLIC CLIC
(enfin si tu veux)

Je tenais tout de même à remercier toutes les personnes qui sont passées par ici, merci pour vos commentaires et vos mails absolument adorables. En espérant vous retrouver vite...

A tout bientôt !

mardi 6 octobre 2009

J'aime trop ta face

"Ouèch ouèch, j'kiffe ta face, t'as trop une bonne vibe, et ton boule..."

Oups, pardon je m'égare. Quoique...

Bah quoi ? C'est vrai c'est drôle, enfin... si j'entendais ça à propos de mon blog ! Oui, non parce que à mon sujet, ça serait un peu... comment dire... une patate dans sa gueule !

Donc le propos de cet article à l'accroche ô combien particulière étant de trouver une personne suffisamment créative pour remodeler et surtout donner vie à mon blog. Non pas que je ne sois pas capable de faire preuve de créativité (oh l'autre hein comment qu'elle s'la pète!) mais disons qu'au niveau design  du blog, l'idée se fait rare.

En gros je cherche une personne assez douée (bah tant qu'à faire) soit pour me faire un truc qui déchire un peu grave sa race sur blogger ou alors pourquoi pas passer sous wordpress (hébergeur, nom de domaine, tout ça, tout ça).
Pour ce qui est de la rétribution rapport au travail-méritant-salaire, c'est à négocier : eh oui pas encore millionnaire, ni blogueuse influente au 360 000 sponsors.

Ah oui j'oubliais : un minimum de sérieux est demandé, genre si tu dis que tu le fais... bah tu le fais !

Si jamais il y a des intéressé(e)s c'est par ici : soisgrosseetcachestoi {@} gmail {.} com

samedi 3 octobre 2009

Mon Amazon, je t'aime

Ou le caprice de la parisienne dynamique qui veut absolument tout et tout de suite sans la moindre excuse ou contre-temps. Je ne vais pas vous faire le récit un beau et doux conte de fée tout droit sorti du cerveau torturé des frères Grimm (je vous en parlerai un jour...), quoique... certes ce n'est pas un conte de fée mais un début d'amour. Un bel amour... littéro-culturel.

Je pense que la majorité d'entre vous connaît le site Amazon qui vous propose un peu tout et n'importe quoi ; le cousin de la Fnac en plus fourni et avec l'option "occas".

En bonne greluche au cervelet buté, je ne jurai que par la Fnac, parce que déjà j'ai la carte (qui au passage sert à que dalle sauf si t'achètes 3 télévisions par an), parce qu'il y a les magasins (que j'ai déserté depuis un bail), et parce que j'y suis toujours allée !
Comme vous pouvez le constater : absolument que des arguments imparables !

Sauf que oui mais c'est la crise et ce pour tout le monde ma bonne dame ! Ce qui n'empêche pas d'aimer les livres et de se cultiver un peu ciboulot, même s'il faut reconnaître que le budget à fortement été revu à la baisse. Mais comment faire lorsque les finances dégringolent alors que la boulimie littéraire s'emballe ? Eh bien on cours à la chasse aux bons plans. C'est comme ça que j'ai fini par retourner sur Amazon. Après tout j'avais été plus que satisfaite de leurs services donc pourquoi pas...

D'autant que depuis ma reprise d'étude (oufff oui je vous en parlerai un de ces quatre aussi), mon emploi du temps étant de plus en plus short et le besoin de livres des plus conséquent, la Sainte Providence a fait que ce site propose une livraison dès le lendemain, voir le jour (en fonction de l'heure de la commande) même pour les abonnés au service premium. Alors oui c'est payant mais vite amorti au vu d'une réelle consommation.

Le site est certes moins "design" que d'autres concurrents, mais les prix associés aux services et aux conseils personnalisés compensent cette disgrâce visuelle.

C'est ainsi que j'ai pu satisfaire des urgences d'étudiante mais aussi des envies d'un livre là tout de suite maintenant. D'ailleurs ce matin est arrivé la petite perle que j'ai désiré hier après-midi, promis je vous raconterai !

Bien sûr que lorsque l'on est vraiment pressé on va dans un magasin, sauf que personnellement soit va jouer le mode feignasse que j'assume, soit la raison puisque il m'est assez difficile de n'acheter qu'un article lorsque je mets les pieds dans un univers "culturel".


Pour info il ne s'agit pas d'un article sponsorisé !

jeudi 17 septembre 2009

S'assoira ou ne s'assoira pas ?

Telle est la question quotidienne de la Ronde citadine. Eh oui toi femme moderne et active tu sais de quoi je parle. Enfin, si tu utilises les transports en communs.
Si tu oses la place double, il faut avoir des dons de contorsionniste pour ne pas déborder sur la place du voisin. Ensuite vient les cas particuliers de la place et demi dans le bus ; prévue à la base pour une maman et son mini-elle, c'est une solution pour éviter la torsion mais pas le regard assassin de la wondermaman qui est épuisée de sa journée (parce que forcément pas toi, je te rappelle que tu as forcément un boulot de feignasse le cul collé à ta chaise d'où la surcharge pondérale) et veut s'asseoir avec son rejeton. Et l'autre cas, c'est bien sur le strapontin !!! Va-t-il résister ? Quand va-t-elle se rétamer lamentablement ? Sachant que le paramètre place-double s'ajoute.

Une autre situation qui m'est personnellement arrivée. Vous savez quand vous êtes d'jeuns que vous trainez avec les potes... et là un petit comique dans la bande propose de se poser là : sur le muret. Tout le monde se laisse glisser, sauf que voilà, toi tu sais que tu ne vas pas y arriver que ton potin se refuse à cette assise de fortune. Donc il y a l'éternelle attitude cool : "non c'est bon ça va" ou la comique "j'veux grandir". Dans la même lignée il y a le tabouret de bar (vindidious que je les hais !).

La liste pourrait être bien plus longue, sans compter l'aberration d'un billet d'avion plus cher parce que tu as le malheur d'avoir besoin d'un peu plus de place que tes congénères....

Quand le courage ne l'étouffe pas

Le précédent commentaire d'un certain "Anonyme" me permet de rebondir sur un nouvel article.

Tout d'abord, je tenais à répondre à ses dires. Non je ne mets absolument pas tous les hommes dans le même panier. Dieu soit loué, il y en a quelques uns pour sauver la mise qui n'est pas très glorieuse. Autre précision, je ne suis pas (tant que ça) amère, ni féministe, ni membre d'un tout autre mouvement anarchique.

Dans l'article précédent, je parlais de certains mecs, ceux que l'on peut, à sa guise, nommer "beauf", "kéké", "jacky" et j'en passe. Qui plus est dans le contexte de l'article, les personnes visées étaient avinées. Or, ce n'est pas le cas de tous les hommes que je peux croiser, encore heureux me direz-vous.

J'évolue dans un univers bien assez masculin et varié (notez que je suis gentille en disant que cet univers est varié et donc par conséquent que tous ne sont pas semblables) pour pouvoir constater une constante.

Autre constatation, et d'autant plus affligeante : le mâle dont le courage ne l'étouffe pas. Eh oui visiblement, il faut du courage (un taux à la limite de l'insurmontable) pour s'afficher avec une rondouillette. Là je n'affabule pas puisque je l'ai entendu de mes propres oreilles personnelles qui fonctionnent très bien : "tu me plais beaucoup, je t'apprécies énormément, mais bon tu comprends qu'on nous voit ensemble... enfin tu vois quoi !". Si ça ce n'est pas une preuve de courage, je ne m'y connais pas !
La chose positive étant qu'effectivement de la gente masculine peut être véritable charmée par les rondes, mais quand à aller plus loin...
C'est à cet instant que me reviennent les paroles d'une Sainte Femme (comprenez par là que je tiens beaucoup à elle) : "les hommes courent après les maigrichonnes, mais finissent toujours pas revenir vers les femmes aux vraies formes qui les rassurent".

mercredi 9 septembre 2009

Merci, mais sans façon

Pourquoi, dès l'instant où tu n'es pas une bombasse atomique à tendance chaudasse du cul, tu dois absolument te sentir honorée de susciter l'intérêt du Super Beauf aviné ?

L'idée serait-elle que comme tu n'as pas un physique à la Kate Moss croisé avec Angelina Jolie (quoique si t'imagines le croisement ça fait peur en fait), tu dois t'estimer heureusement que quelqu'un s'intéresse à ta pauvre carcasse ?

Non parce qu'en réalité ce n'est pas parce que tu es plus proche de cette chère Thérèse (qui au passage n'est pas moche hein, elle a juste un physique difficile) que tu n'as pas un minimum "d'exigences".
Pour info, déjà mec aviné, peu importe le physique c'est rédhibitoire ! Sérieux le sac à vin qui ne sait pas se tenir un minimum ça n'a pas grand chose d'attirant, si ce n'est une forte attraction vers la sortie. Quoique, une personne, dont je tairai le nom, m'a toujours dit que pour connaître un homme il faut le voir bourré.

Maintenant, je sais depuis peu que ce n'est pas le cas de toutes les nanas mais, les exigences en matière du mec avec qui "y a moyen" ou "même pas en rêve", les femmes sont tout de même moins exigeantes, ou alors pas sur les mêmes points.

Une dernière petite info au passage messieurs, mais juste comme ça, la nana qui ne paie pas de mine vous apportera certainement plus que la gravure de mode qui est tout en apparence et en superficialité.
Mais en disant cela, soyons clair, je ne dis rien...

mardi 8 septembre 2009

Quand la dysmorphobie devient un maux de société

La dysmorphobie est, par définition, une crainte obsédante d'être laid ou malformé. Et si cette phobie était devenue au fil du temps un réel maux de la société actuelle ?

Tout un chacun a ses propres complexes et ses craintes que se soit par rapport à son physique, à la perception de soi aux yeux des autres, au "qu'en-dira-t-on". Mais si l'on ajoute à cela la pression de la société, le bombardage des médias d'une image stéréotypée, d'une case unique où tout être humain "convenable" doit entrer ; les petits complexes initiaux se trouvent décuplés voir insurmontables.

La petite bosse sur le nez devient une péninsule, des poignées d'amour (terme si charmant) se transforment en bourrelets honteux, et j'en passe...

Tout ces petites "imperfections" font de chaque être humain une seule et unique personne. Se conformer aux normes imposées par la société (essentiellement de consommation) c'est condamner le genre humain à devenir un groupe d'humanoïde sans aucune identité.